Vaedderen - Merle noir Lyrics

Je suis qu'un enfant d'Internet
Et je crois que ça se sent dans mes centres d'intérêt
J'ai donné vie et sens à mes rêves
Voir le monde dépérir ça m'énerve
Comme camus j'observe le monde
Pour pas me perdre dans la romance
Parce que j'accepte pas le monde qui m'entoure
Sur des mensonges ils écrivent des romans
Depuis ma forteresse,
J'ai posté un archer à chaque meurtrière
Mon sort est serein, avec moi j'ai la princesse et la sorcière
Ils le font pas pour le sport,
Ils le font pour les stats
Moi je ferme les stores et un insta
Je compte même plus mon nombre de story instables
Je veux que chaque phrase soit impactantes
Parce que brasser du vent je suis pas dedans
J'écris pour que tu écoutes pas parce que tu fasses quelques pas de danse
Je veux qu'on dise de moi que je suis un battant
Tu revasses une baraque une caisse et des gosses
Donc tu t'entêtes à trouver un bon poste
Désillusion arrive à bon port
Tu as plus rien
Mais au moins tu as ton nom sur le sommet de la sonnette de la porte
L'ombre des bâtiments de la ville
Obstrue la vision de l'horizon
Comment peut-on penser grand,
Quand on ne voit que les murs de sa propre maison
Du fait qu'on va vers un mur
Et qu'il n'y a pas de solution
Je m'en suis fait à raison
Sérieux, c'est plus du taf
C'est de la soumission de masse
Elon sera sûrement seul sur Mars
Je parle pas aux gens qui ont pas de répartie
Et ça me paraît pas répandu
Je préfère ceux qui prennent partie
Plutôt que ceux qui se cachent dans des sous entendus
Je m'écarte des discours confus
Et des gars qui ont l'vocer planquer dans le fute
Pour.moi un homme ça reconnaît ses fautes
Gare à vous je reconnais de loin les jours de flûte
Y a une jolie esquisse dans l'estompe
Joli revers de veston
Un joli sourire qui est complet
Mais chérie y a encore mon cœur à combler
Il est comme lacéré il est rempli de plaies
Mais c'est un peu de ma faute,
J'ai les bras en Barbelés
Je me laisse le bénéfice du doute
Quant à valeur qu'on a donnée à l'espèce
On détruit des villes, pour construire des villes, qui accueilleront des vies,
Dans lesquels on exploitera des filles
Les contraires satire plus car les extrêmes s'étirent
Le monde dystopique ne relève plus de la satire