Tu me dis tout avec tes yeux, j'ai l'impression que tu me veux, que je t'inspire.
Tu uses de gestes contrôlés prêts à me faire déraisonner, à m'affaiblir.
Tu joues là l'acte trop cruel, je l'imagine sensuel, qu'il m'affranchisse,
Quand tu te lâches et que j'espère que la musique s'empare de nos corps,
Où tu m'enlaces et quand j'espère finir ailleurs ce corps-à-corps.
Je me soumets à ton plaisir, comme possédée par tes désirs, je me résigne
<< C'est impossible et c'est risqué, c'est sans issue >> c'est obligé, il me devine.
Tu joues là l'acte trop cruel, je l'imagine sensuel, qu'il m'affranchisse,
Quand tu te lâches et que j'espère que la musique s'empare de nos corps,
Où tu m'enlaces et quand j'espère finir ailleurs ce corps-à-corps.
De désinvoltes exaltations saccadent mes respirations, tu en abuses,
Ton corps dicte la disparition, la perte de soi à l'abandon et tu en ruses,
Tu joues là l'acte trop cruel, je t'imagine sensuel, c'est corrosif.
Quand tu te lâches et que j'espère que la musique s'empare de nos corps,
Où tu m'enlaces et quand j'espère finir ailleurs ce corps-à-corps.