Sais-tu mon amour quelle est ma position préférée ?
Je ne parle pas de celle avec les jambes sur le côté
Pas non plus de ta position quand nous parlons des élections
Et qui me fait comprendre à quel point je devrais déjà être loin
La position ou plutôt la situation, c'est celle-ci
Quand nous nous disputons chez des amis
Pour avoir mollement dragué ta cousine
Ou aussi craché sur la presse féminine
Pour avoir giflé ton frère lui avoir collé un ramponneau
Sur les deux arcades sourcilières
Il avait dit du mal de Django
Ça ne t'empêche pas d'être la plus jolie
Quand nous nous disputons chez des amis
Ta colère rentrée est insoupçonnée
Par nos hôtes fayots, souriant mais charmants
Tu me jettes des regards nucléaires
Et te détourne aussitôt
Tu reprends un peu de Munster
J'ai envie de te briser le dos
Si ma haine est imperceptible, j'ai envie
De te tuer quand nous nous disputons chez des amis
Si ma haine est imperceptible, j'ai envie
De te tuer quand nous nous disputons chez des amis
Mais quand ces ploucs vont-ils s'apercevoir enfin
Que tu m'accuses à tort. Tu ne montres rien
Te parler devient une prouesse
Aucun sujet ne t'intéresse, il n'est rien que tu n'aies pas vu
Ne parlons pas des blagues de cul
Je te trouve de moins en moins polie
Quand nous nous disputons chez des amis
Encore un supplice, le retour en voiture
En colère, de profil tu ressembles à Ben Hur
L'ambiance est tendue à mort
Le procès de Nuremberg à coté
Ressemble à des variétés de Patrick Sébastien, t'es d'accord ?
Tu voudrais ne me voir plus jamais dans ton lit
Quand nous nous disputons chez des amis
Tu voudrais ne me voir plus jamais
Tu voudrais ne me voir plus jamais
Tu voudrais ne me voir plus jamais dans ton lit
Quand nous nous disputons chez des amis