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Sens perdu Video (MV)




Performed By: Sanakh
Length: 1:55
Written by: Marie Camerola




Sanakh - Sens perdu Lyrics




Mes mains glissent le long du métal froid
Provoquant des frissons que mes yeux peuvent voir
Les caresses du vent me rassurent durant cette vie noire
Je sens l'air devant moi
J'entends les gens parler et j'écoute étant incapable de voir leurs fameux visages
Ternis par la fureur
Le bruissement des oiseaux emplit mes oreilles avec douceur
Mes yeux n'sont pas éblouis par la beauté du monde
Mais par une noirceur inconnue apparue sans prévenir

Alors je cours
Je cours dans les rues où les fleurs continuent de mourir
Mon souffle s'accélère petit à petit tandis que je bouscule des gens
Des gens qui sont comme des murs épais
Des murs qui font mal car ils me rappellent cette putain de cécité
Je cours même si j'ai peur de ces rues
Je cours en espérant retrouver ce sens que j'ai perdu
Ce sens qui me nuit
Ce sens qui est irréversible à une vie
Ma peine se déverse à travers mes lèvres entrouvertes
Je m'arrête
Cherchant à tâtons un morceau d'humanité qui serait peut-être égaré dans ma fameuse veste verte
Malheureusement, j'ai beau fouiller
Je trouve seulement des vieux morceaux de papiers déchirés

Alors je continue mon chemin en cherchant encore une suite logique à ma fuite
Je cherche des gens à qui parler
Mais tout le monde me bouscule sans pouvoir m'aider
Parce que c'est ça maintenant notre société
Une masse grouillante de gens qui ne jettent plus un regard aux autres
Qui essaient de se frayer un chemin à travers la foule qui danse dans un mouvement incoordonné
Quand ils se fient aux autres
C'est des insultes sans cœur qu'ils désamorcent
Alors une fois seul
Je parle aux plantes et aux animaux
Parce que c'est beau
J'ai beau courir encore et encore
Et même frôler la mort

L'aveuglement est maître
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Mes mains glissent le long du métal froid
Provoquant des frissons que mes yeux peuvent voir
Les caresses du vent me rassurent durant cette vie noire
Je sens l'air devant moi
J'entends les gens parler et j'écoute étant incapable de voir leurs fameux visages
Ternis par la fureur
Le bruissement des oiseaux emplit mes oreilles avec douceur
Mes yeux n'sont pas éblouis par la beauté du monde
Mais par une noirceur inconnue apparue sans prévenir

Alors je cours
Je cours dans les rues où les fleurs continuent de mourir
Mon souffle s'accélère petit à petit tandis que je bouscule des gens
Des gens qui sont comme des murs épais
Des murs qui font mal car ils me rappellent cette putain de cécité
Je cours même si j'ai peur de ces rues
Je cours en espérant retrouver ce sens que j'ai perdu
Ce sens qui me nuit
Ce sens qui est irréversible à une vie
Ma peine se déverse à travers mes lèvres entrouvertes
Je m'arrête
Cherchant à tâtons un morceau d'humanité qui serait peut-être égaré dans ma fameuse veste verte
Malheureusement, j'ai beau fouiller
Je trouve seulement des vieux morceaux de papiers déchirés

Alors je continue mon chemin en cherchant encore une suite logique à ma fuite
Je cherche des gens à qui parler
Mais tout le monde me bouscule sans pouvoir m'aider
Parce que c'est ça maintenant notre société
Une masse grouillante de gens qui ne jettent plus un regard aux autres
Qui essaient de se frayer un chemin à travers la foule qui danse dans un mouvement incoordonné
Quand ils se fient aux autres
C'est des insultes sans cœur qu'ils désamorcent
Alors une fois seul
Je parle aux plantes et aux animaux
Parce que c'est beau
J'ai beau courir encore et encore
Et même frôler la mort

L'aveuglement est maître
[ Correct these Lyrics ]
Writer: Marie Camerola
Copyright: Lyrics © O/B/O DistroKid

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