Tu ris comme moi j'aimeet tu dessines bien.Un jour tu seras mienne,parole de chien.La balle est partie vers toi,j'avais visé le cur.Söreen, tu l'attrapas,Nous serons toujours des vainqueurs.Je n'aime pas Jimmy,il te regarde en cachette.Je sais qu'entre toi et luiy a comme un magnet.Viens j'ai des sous blancs,je jure qu'ils sont à moi.Söreen je t'offre, viens t'enune bague en chocolat, une bague en chocolat.Un jour, nous nous marieronsSöreen, oh Söreen, oh Söreen, oh Söreen.La vie a soulevé tes seinset tous mes ennemis.L'Italie dans mes mains,il me faut tuer Jimmy.Qui allumera son ciergeà la porte de ta peau ?Qui flambera la vierge ?He ne my ne mo,he ne my ne mo.L'argent, maudit argentton père s'en fut ailleurs.Rouge comme le sang,ce camion de malheur.Sur mon cur de boisje gossais des bombes.Plus de lumière chez toi,c'était la fin du monde,c'était la fin du monde.Paraît que tu vis au cielentre New-York et quelque part.Moi, mes avions s'emmêlentme vois-tu dans ton radar ?A la mine, à l'arèna,je vois souvent Jimmy.Lui et moi parfoison se demande qui,on se demande qui,qui se reposeà l'ouest de ton cur ?Qui métamorphoseton ennui en bonheur ?Qui jouit du privilègeune fois la nuit venue,qui mange ta pêche,qui boit son jus ?Qui boit ton jus ?