Ce n'est pas l'au revoir, ce dernier mot dans nos regards
Tout ne meurt pas en un soir, non ce n'est pas ça l'au revoir
Ce n'est qu'une fin du monde, une longue maladie sans mémoire
Tout s'est écrit dans nos ombres, nous n'avons pas voulu le voir
Tout ce qui nous fume
Et dans tout ce qui nous fume
Tu vois tout ce qui nous fume
Et dans tout ce que nous fûmes
Tout ce qui nous fume
Et dans tout ce qui nous fume
Tu vois tout ce qui nous fume
Et dans tout ce que nous fûmes
Nous avons tous les mêmes prisons, les mêmes désirs à faire naître
Avant de tout faire disparaître aux couleurs tristes des maisons
Dans l'alcool caché sous l'évier, les silences lourds des dîners
Nous avons tous ce vide immense, ce sourire pale à maquiller mais
Ce n'est qu'une fin du monde qui s'écrit sans nous le dire
Sous les cigarettes qui flambent tout le monde se cache pour vieillir
Tout ce qui nous fume
Et dans tout ce qui nous fume
Tu vois tout ce qui nous fume
Et dans tout ce que nous fûmes
Tout ce qui nous fume
Et dans tout ce qui nous fume
Tu vois tout ce qui nous fume
Et dans tout ce que nous fûmes
Cet éternel au revoir s'est dessiné au hasard
De nos mains trop lentes a écrire le sens caché de notre histoire
Tout ce qui nous fume
Et dans tout ce qui nous fume
Tu vois tout ce qui nous fume
Et dans tout ce que nous fûmes
Tout ce qui nous fume
Et dans tout ce qui nous fume
Tu vois tout ce qui nous fume
Et dans tout ce que nous fûmes
Tout ce qui nous fume
Et dans tout ce qui nous fume
Tu vois tout ce qui nous fume
Et dans tout ce que nous fûmes
Tout ce qui nous fume
Et dans tout ce qui nous fume
Tu vois tout ce qui nous fume
Et dans tout ce que nous fûmes