Tu n'as rien vuQu'un homme qui voulait te prendreTu n'as rien vuMes failles mais pas mes gestes tendresRien entenduQuand j'essayais de te comprendreDamner, condamner tes démonsT'es disparueTu n'as rien vuDe l'amour que je respiraisMon âme à nuJe l'ai révélée sans regretTu n'as rien cruTu m'as largué comme un déchetComme on méprise sans raisonUn détenuTu n'as rien suDe ma douleur et de mon sangQui ne bat plusQue pour inventer tes sermentsDes coins de rueOù je t'espère où je t'attendsTa peau, ton corps et ton prénomEt ça me tueIl a falluQue tu t'éloignes de ma porteDe ma vuePour que je laisse une cohorteD'inconnusAlimenter mes nuits, mes joursPour protèger mon propre amourEt mon salutTu n'as rien vuMon souffle et ma voix qui déraillentNe donnent plusMon cur qui craignait la chamailleA survécuQuand tu m'as livré la batailleA coups de haine sans pardonSans retenueJe n'ai pas suTe posséder te retenirJe n'ai pas suTrouver la force d'en mourirJe n'ai pas suTrouver les mots pour te le direPour en finir et pour de bonJe n't'aime plusJe n't'aime plusTu l'as cherché tu l'as vouluJe n'taime plusJe suis crevé, je suis vaincuJe n'ai pas suTrouver les mots pour te le direPour en finir et pour de bonJe n't'aime plusJe n't'aime plusJe n't'aime plus