(Lavoine/Aboulker)
Sur une guitare, sur une violon
Qu'il soit trop tard, qu'il soit trop long
Sur un boulevard ou sous un pont
Le sans-logis fait sa chanson
Sur une guitare sur un violin
Sur un tam-tam du Gabon
Sur une batterie à l'occasion
Le sans-patrie fait sa chanson
Si la vÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂéritÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂé sort de la bouche du mÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂétro
Si le monde entier dit qu'on a tort d'aimer trop
Quand l'hiver est rude et qu'on cri "chaud les marrons"
Le sans-abri fait sa chanson
La libertÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂé
C'est pas la porte à cÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂ'tÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂé
La libertÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂé
C'est le bout du monde
Sur une guitare, sur un violin
Sur des gamelles et des bidons
A tout hasard sous les balcons
Le sans-papiers fait sa chanson
Sur une guitare, sur un violin
Sur un air de Duke Ellington
A bout de souffle, à bout de son
Le sans-le-sou fait sa chanson
Si la vÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂéritÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂé sort de la bouche du mÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂétro
Si le monde entier dit qu'on a tort d'aimer trop
Quand l'hiver est rude et qu'on crie "chaud les marrons"
Le sans-culotte fait sa chanson
Refrain