Suzanne is walking at the streets of Montmartre
The poets, the writers are staring aroused
Suzanne, the painters the birds and the sun
All gazing excited the muse of the world
No one could take away their eyes from her eyes
As she was passing by with her red smile and her evening dress
No one could take away their eyes from Suzanne
La muse est assise, nue à moitié sur la chaise longue
La brise agite le feuillage en dehors de la fenêtre
Il sent le jasmin et les couleurs
Le peintre la saisit par le cou, la pousse contre le mur, il devient violent et blasphémateur
Ses cris de plaisir font écho dans la ville de Paris
Son souffle devient plus rapide - son visage est rayonnant de lumiere
Elle mord les lèvres
Le peintre brise le lit, il devient immoral, athée/impie
Elle est perdue dans son plaisir, dans son orgasme, elle Hurle
Et ses sons pénètrent les toits de la ville de la lumière
No one could take away their eyes
From Suzanne