Parmi les océans si perdus
J'ai été retenu solitaire et déçu
Entouré des forêts contrastées
Mon silence s'est noyé
Dans cette peine comprimée viens m'aider
Elle va et vient comme une journée
Sans cogner ni frapper pour rester à perpétuité
Oui je sais je ne pourrais t'empêcher
D'aller où tu dois aller
Vaut mieux descendre que monter j'ai rêvé
Je dors toujours un peu éveillé
Peut-être à cause de mes journées
Qui ressortent du calendrier
Brisé
Isolé dans une prison de chêne
Ton âme est dans ma peine
Un agneau dans la plaine
Une goutte de chair dans un puits
Mets un terme à ta vie
Et sombre dans nos oublis comme la nuit