Exposé d'une pensée qui se déploie, je me débine de la routine tout en restant clean avec la loi qui fait foie, ma foie, bien des fois contre le règne du tout premier roi. De bonne aloi, je m'exprime sans me croire aux cimes des rîmes. Et bim, ... bada boom, c'est un grand coup de zoom. Et bim, bada, boom sur les MC King qui ne sont plus Kong tellement ils ont sapé le gong de l'humilité féconde d'un retour à leurs propres ondes.
Chega lá, Chega lá, Chega lá, Chega lá
Eu te dou o caminho da sabedoria
Donc sur cela j'ai bâti ma forteresse et contre cette croissance qui ne croît sans cesse et qui, de glace me laisse, voire las je reste, de cette idée de temps de notre temps qui l'entend substituable... comme de l'argent.
Chega lá, Chega lá, Chega lá, Chega lá
Eu te dou o caminho da sabedoria
Tu vois, pour une fois, je ne vais pas te ressortir les mêmes conneries que ces sbires de l'opinion bien partagée, dont l'esprit s'est encrassé dans des discours péremptoires servant une analyse aléatoire, exemple : << Moi, j'aime pas, c'est trop commercial ! >> En plus ils montent sur leur piédestal, ces abrutis ! << Hé mec, tu ne sais même pas ce que tu dis ! >> Alors, réfléchis ; aussi pour infléchir ton esprit penché du côté de la simplicité ignorée car ce n'est pas seul le savoir qu'on ignore mais aussi le fait que on l'ignore. Tu comprendras alors, que l'ignorant est doublement ignorant.
Mais revenons à la réflexion, revenons à cette confrontation entre 2 situations, celle d'un je qui joue sur 2 positions. L'adéquation me fait défaut, mon être manque d'être et peut-être que dans le fond je ne suis qu'un con à me poser toutes ces questions, mais bon, au moins, je pense ; et que l'errance des mots encense cette once de sens qu'on est sensé... chercher.
Le texte n'est qu'un prétexte qui extrait inexorablement le noyau de son ego, ... pensant.