On est devenu des pubs américaines des années 70
Des putes amers et aigres désarmées face aux vices
On voulait nous la mettre et il y avait des indices
Ils étaient au moins 10 a rêver se glisser au fond de l'orifice
Dans l'espace vide, pile, dans le trou béant entre nos 2 iris
On a laissé passer le temps, après tout, tout ça glisse
Gentil toutou des caniveaux joue des coudes et tournent en rond
Pour une bouchée de canigou
Sous écrou découvre le monde
Pente est douce, pavés défilent
Sur la route les semelles s'usent
Les semaines s'amenuisent
On sue des gouttes pour fuir le sud
Avant que le soleil nous dessoude
Coup d'œil au fossé
Feu follet de matière grise, la putréfaction qu'on attise
Plus de réflexion ça rend triste
Marketing a pris la suite
Coutumes et tendance ont kidnappé nos esprits
Dilaté nos envies, piloté nos caprices
On s'accoutume à tout, à ce qui nous manque aussi surtout
La vie s'écoule entre 2 prises de risque
Paire de gifles et crédit jusqu'aux rides
4 petits traits barrés
Hors week-end qu'on valide
Sur les murs gris qui nous servent de balises
Y a pas de terre promise entre ailleurs ou ici
Ça jacte apocalypse depuis que Dieu existe
Patience, on y arrive !
Il y a des soirs où le suicide omet d'être tentative
Où le dernier soupir est le meilleur des antalgiques
Va-t-on abdiquer sans agir, en attendant que le déluge emporte ce que nos peurs inhibent ?
Le peu qu'on a divise on garde l'idée fixe
D'avoir en multiple de 10 ce que détient notre vis-à-vis
On a dévissé, perdu le fil et le sens
Filet de sang au coin des lèvres et salle de réa pleine
Billet de 100 sur le toit des rêves
C'est ça l´Eden ?
6 h du mat file d'attente à l'essence, sale réel
On range l'essentiel au fond des tiroirs vides qui tapissent nos écrans
Étrange de répandre la fange sur l'éternité promise aux enfants
Ceux là même à qui on vend
Depuis l'école et ses bancs
Que la conscience sera la seule des défenses
Puisqu'on a laissé le reste à ce qui séduisent nos dépenses
Mamat DayOff & Masto Prod - Quelques Astres Partie 1 (feat. DJ Aries 9.0) Lyrics
Mamat DayOff & Masto Prod - Quelques Astres Partie 1 (feat. DJ Aries 9.0) Lyrics
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On est devenu des pubs américaines des années 70
Des putes amers et aigres désarmées face aux vices
On voulait nous la mettre et il y avait des indices
Ils étaient au moins 10 a rêver se glisser au fond de l'orifice
Dans l'espace vide, pile, dans le trou béant entre nos 2 iris
On a laissé passer le temps, après tout, tout ça glisse
Gentil toutou des caniveaux joue des coudes et tournent en rond
Pour une bouchée de canigou
Sous écrou découvre le monde
Pente est douce, pavés défilent
Sur la route les semelles s'usent
Les semaines s'amenuisent
On sue des gouttes pour fuir le sud
Avant que le soleil nous dessoude
Coup d'œil au fossé
Feu follet de matière grise, la putréfaction qu'on attise
Plus de réflexion ça rend triste
Marketing a pris la suite
Coutumes et tendance ont kidnappé nos esprits
Dilaté nos envies, piloté nos caprices
On s'accoutume à tout, à ce qui nous manque aussi surtout
La vie s'écoule entre 2 prises de risque
Paire de gifles et crédit jusqu'aux rides
4 petits traits barrés
Hors week-end qu'on valide
Sur les murs gris qui nous servent de balises
Y a pas de terre promise entre ailleurs ou ici
Ça jacte apocalypse depuis que Dieu existe
Patience, on y arrive !
Il y a des soirs où le suicide omet d'être tentative
Où le dernier soupir est le meilleur des antalgiques
Va-t-on abdiquer sans agir, en attendant que le déluge emporte ce que nos peurs inhibent ?
Le peu qu'on a divise on garde l'idée fixe
D'avoir en multiple de 10 ce que détient notre vis-à-vis
On a dévissé, perdu le fil et le sens
Filet de sang au coin des lèvres et salle de réa pleine
Billet de 100 sur le toit des rêves
C'est ça l´Eden ?
6 h du mat file d'attente à l'essence, sale réel
On range l'essentiel au fond des tiroirs vides qui tapissent nos écrans
Étrange de répandre la fange sur l'éternité promise aux enfants
Ceux là même à qui on vend
Depuis l'école et ses bancs
Que la conscience sera la seule des défenses
Puisqu'on a laissé le reste à ce qui séduisent nos dépenses
Des putes amers et aigres désarmées face aux vices
On voulait nous la mettre et il y avait des indices
Ils étaient au moins 10 a rêver se glisser au fond de l'orifice
Dans l'espace vide, pile, dans le trou béant entre nos 2 iris
On a laissé passer le temps, après tout, tout ça glisse
Gentil toutou des caniveaux joue des coudes et tournent en rond
Pour une bouchée de canigou
Sous écrou découvre le monde
Pente est douce, pavés défilent
Sur la route les semelles s'usent
Les semaines s'amenuisent
On sue des gouttes pour fuir le sud
Avant que le soleil nous dessoude
Coup d'œil au fossé
Feu follet de matière grise, la putréfaction qu'on attise
Plus de réflexion ça rend triste
Marketing a pris la suite
Coutumes et tendance ont kidnappé nos esprits
Dilaté nos envies, piloté nos caprices
On s'accoutume à tout, à ce qui nous manque aussi surtout
La vie s'écoule entre 2 prises de risque
Paire de gifles et crédit jusqu'aux rides
4 petits traits barrés
Hors week-end qu'on valide
Sur les murs gris qui nous servent de balises
Y a pas de terre promise entre ailleurs ou ici
Ça jacte apocalypse depuis que Dieu existe
Patience, on y arrive !
Il y a des soirs où le suicide omet d'être tentative
Où le dernier soupir est le meilleur des antalgiques
Va-t-on abdiquer sans agir, en attendant que le déluge emporte ce que nos peurs inhibent ?
Le peu qu'on a divise on garde l'idée fixe
D'avoir en multiple de 10 ce que détient notre vis-à-vis
On a dévissé, perdu le fil et le sens
Filet de sang au coin des lèvres et salle de réa pleine
Billet de 100 sur le toit des rêves
C'est ça l´Eden ?
6 h du mat file d'attente à l'essence, sale réel
On range l'essentiel au fond des tiroirs vides qui tapissent nos écrans
Étrange de répandre la fange sur l'éternité promise aux enfants
Ceux là même à qui on vend
Depuis l'école et ses bancs
Que la conscience sera la seule des défenses
Puisqu'on a laissé le reste à ce qui séduisent nos dépenses
Writer: Mathieu Deroff
Copyright: Lyrics © O/B/O DistroKid
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