La ville a sommeil,
Sous son grand soleil
Immobile
Et on est pareils
A la ville.
Par les volets passent
Quelques rumeurs lasses
Et lointaines
Qui vont voix basse
Et qui viennent.
Ce sentiment, le ressens tu,
Quand tous les sons, dirait-on, se sont tus
Dans les ruelles
Et dans les rues ?
Rappelle toi.
Une lie, un t,
Les alizs, l'eau de jade,
Une lie, un t,
Le vent s'est arrt
Avant la tornade.
Cet air de rien te revient-il ?
Le temps n'est plus suspendu qu' un
Si fin, si frle
Et si fragile.
Rappelle toi.
Une ville endormie
Dans son ennui, ses arcades,
Une ville, un printemps.
Tout allait bien, pourtant,
Avant la tornade.
La ville a sommeil,
Sous son grand soleil
Immobile
Et on est pareils
A la ville.
Par les volets tranent
Des rumeurs lointaines,
Un peu lasses
Qui vont et qui viennent
Et qui passent.
Le Forestier Maxime - Avant La Tornade Lyrics
Le Forestier Maxime - Avant La Tornade Lyrics
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La ville a sommeil,
Sous son grand soleil
Immobile
Et on est pareils
A la ville.
Par les volets passent
Quelques rumeurs lasses
Et lointaines
Qui vont voix basse
Et qui viennent.
Ce sentiment, le ressens tu,
Quand tous les sons, dirait-on, se sont tus
Dans les ruelles
Et dans les rues ?
Rappelle toi.
Une lie, un t,
Les alizs, l'eau de jade,
Une lie, un t,
Le vent s'est arrt
Avant la tornade.
Cet air de rien te revient-il ?
Le temps n'est plus suspendu qu' un
Si fin, si frle
Et si fragile.
Rappelle toi.
Une ville endormie
Dans son ennui, ses arcades,
Une ville, un printemps.
Tout allait bien, pourtant,
Avant la tornade.
La ville a sommeil,
Sous son grand soleil
Immobile
Et on est pareils
A la ville.
Par les volets tranent
Des rumeurs lointaines,
Un peu lasses
Qui vont et qui viennent
Et qui passent.
Sous son grand soleil
Immobile
Et on est pareils
A la ville.
Par les volets passent
Quelques rumeurs lasses
Et lointaines
Qui vont voix basse
Et qui viennent.
Ce sentiment, le ressens tu,
Quand tous les sons, dirait-on, se sont tus
Dans les ruelles
Et dans les rues ?
Rappelle toi.
Une lie, un t,
Les alizs, l'eau de jade,
Une lie, un t,
Le vent s'est arrt
Avant la tornade.
Cet air de rien te revient-il ?
Le temps n'est plus suspendu qu' un
Si fin, si frle
Et si fragile.
Rappelle toi.
Une ville endormie
Dans son ennui, ses arcades,
Une ville, un printemps.
Tout allait bien, pourtant,
Avant la tornade.
La ville a sommeil,
Sous son grand soleil
Immobile
Et on est pareils
A la ville.
Par les volets tranent
Des rumeurs lointaines,
Un peu lasses
Qui vont et qui viennent
Et qui passent.