La fin du jour dans cette ville
Est étrange
Des passants passent en silence
Dans les brumes de décembre
Un vent glacial souffle et domine
Impérial
On dirait qu'il y a des anges
Sur la colline des roses
Mais les nuits sont trop violentes
Elles arrivent comme une erreur attirante,
Une erreur aveuglante
Il y a des petites fées
Au creux de ma main
Et qui prennent le thé
Dans un jardin
Il y a des petites fées
Au creux de ma main
Et qui prennent le thé
Au fond de mon jardin
Je n'ai que mes yeux
Pour les regarder
Que deux mains pour les toucher
Mais qu'une bouche pour les embrasser
Mais qui pense que ça les dérange
Que des anges en toute innocence
... marchent sur des roses qui éclosent
Il y a des petites fées
Au creux de ma main
Et qui prennent le thé
Dans un jardin
Il y a des petites fées
Au creux de ma main
Et qui prennent le thé
Au fond de mon jardin
Je déteste les mois de décembre
Elle hait tous ces dimanches
Mais les nuits sont trop violentes
Elles arrivent comme des erreurs
Il y a des petites fées
Au creux de ma main
Et qui prennent le thé
Dans un jardin
Il y a des petites fées
Au creux de ma main
Et qui prennent le thé
Au fond de mon jardin
Je déteste les mois de décembre
Elle hait tous ces dimanches
Mais les nuits sont trop violentes
Une nuit sur la colline des roses...
Ouh ! Ouh !