Les bêtises de la montre se consument J'inhale les souvenirs qui ondulent
Dans la fumée j'entends le bruit des sourires Je crapote je recrache les soupirs Flashs-backs noir et blanc mais colorés
Qui viennent me chuchoter à l'oreille
C'est pour ça que tu fais ce que tu fais
Montrer à tout le monde que c'est grand ce que tu fais
Je prend le temps et je l'embrasse
Il me permet de voir plus grand à chaque marche
Ouais ça fait peur de vieillir si t'arrives pas à rayer les grandes lignes de la liste Je veux faire plus que les gros titres du journal intime de mon ex
Arrêter de fuir l'estime que j'ai de moi même
Faire sauter les persiennes pour que la chaleur revienne
Je prends des dégâts je mens pas Les rides au visage partent pas
Le chrono me fait mal
Quand ma larme prends les armes
Je ferai de la haute couture si les minutes défilent Je prends le défi, oui le défi
De faire de la haute couture si les minutes défilent Je prends les aiguilles et le temps au bout du fil
Si personne n'y croit c'est pas que ce n'est pas réalisable
C'est qu'ils ont peur quand l'inconnu prend la lumière du jour pour s'assoir à leur table
Ils ont peur quand c'est pas stable
Terrorisé du décalage horaire
Que leur château s'écroule pour un grain de sable
Ils freinent son sablier en le tenant à l'envers
Mais qui sait ce qu'il aime faire
Pour qui il laisse taire
Ce qu'au fond il espère
Si l'envie elle se perd
Quand les années font des paires
Et se ressemblent à chaque anniversaire
Refroidir l'été, réchauffer l'hiver
Penser à ta vie et faire le contraire
Les aiguilles tournent en rond
Et nous invitent à danser pour apprendre à être fier
Je prends des dégâts je mens pas Les rides au visage partent pas
Le chrono me fait mal
Quand ma larme prends les armes
Je ferai de la haute couture si les minutes défilent Je prends le défi, oui le défi
De faire de la haute couture si les minutes défilent Je prends les aiguilles et le temps au bout du fil