Toi, qui de tes yeux me découvre
Tel que je suis, brisé en mille morceaux de rêves. Je suis la poussière des étoiles qui brillent à jamais sur ta peau. Je suis le coton des nuages qui essuient tes larmes, celles qui coulent brûlantes le long de tes joues usées de m'avoir trop aimé. Je suis le jour, je suis la nuit, je suis toujours, j'anéantis.
Je suis l'oiseau qui s'envole enfin à mille lieux d'ici.
Je suis la route qu'on prend lorsqu'on est fatigué, qu'on rêve du paradis.
J'fais pas partie des vivants
J'fais pas partie des vivants
J'ai jamais su, moi
J'ai jamais su.
Accroché au miroir de la vie, qui passe et qui fane, qui court sans nous attendre, qui ne passe pas te prendre, qui ne s'arrête pas. Que j'arrête moi. Je suis la mer qui va qui vient, celle qui croisera ton chemin. Lorsque tu penseras à moi demain, tu penseras à moi d'en bas. Je suis et je ne suis plus. La maladie. Je suis l'un je suis l'autre, la maladie. Je suis moi, je suis en faute, je suis et je ne suis plus.
Je suis l'oiseau qui s'envole enfin à mille lieux d'ici.
Je suis la route qu'on prend lorsqu'on est fatigué, qu'on rêve du paradis.
J'fais pas partie des vivants
J'fais pas partie des vivants
J'ai jamais su, moi
J'ai jamais su.
Si je pouvais, si je savais, à tes pieds je m'allongerais.
Pour terminer l'histoire.