D'une verdure de la scène asainte au non déniée
De nostalgie du long fleuve de tristesse léthargique
Une petite sarcelle se dépose sur le lit, elle réjouie
L'ouïe d'Aragon à Enjorlas
Semant les germes du champs de lilas
Elle m'éteint l'acescence à l'humeur décadente
Le silence à la mort perçante
Tel un cercle de veines elle m'étreint la terre me berce en nuit pleine
Elle me réjouie
L'odeur emplie de douceur
Des lèvres pénétrées des baises en triques impose sa douleur rachitique
Le cœur qui ne souhaite que jaillir pour mieux chérir (impose sa douleur rachitique)
Heurtant la branche au thorax d'argile
Je m'en vais parquer
La rose du jardin vert galant
Pour ravager les sèves pourrissant
À la chapelle Babylone niquée
Des bancs où crèvent sous fientes craqués
Les gueulants au soleil d'été