Sa voix, je l'entends qui me dit "debout, viens-t-en
Vite, accours jusqu'à moi
La triste saison est finie, c'est le printemps
Vite, rejoins-moi"
Sa voix, je l'entends qui me dit "debout, viens-t-en
Vite jusqu'à moi
La saison des pluies est finie, c'est le printemps
Vite, rejoins-moi"
Il est pentu, le long chemin qui mène
À ta vertu, à l'eau de ta fontaine
Mais je le ferai jusqu'au bout
Pour arriver à toi
Jusqu'à toi
Ouvre-moi ton cœur (mon âme)
Ouvre-moi ton cœur (mon âme)
Oublie d'où venait la peine
Oblige mon âme ancienne
Que je parvienne à toi
Que je parvienne à toi
Mon deuil, tu l'as changé en danse joyeuse
La joie, la joie me ceinture de ses grelots d'airain
Chatouille mes reins, je ris, me déhanche
Et sautille maintenant
Je danse en frappant dans les mains
Dans les mains
Et tremblé d'effroi quand méprisamment, ils ont
Chassé d'un geste de main
Et si doux parfum, tes plus pures exhalaisons
Mon corps a eu froid
J'ai tremblé d'effroi quand violemment ils ont
Pillé ta maison
Mais je me suis tu, honteusement me suis tu
Et parti en courant
Tu es parti en courant
Loin de moi
Loin de moi
Ah, ah, ah
Oublie d'où venait ta peine
Oublie d'où venait la peine
Ouvre-moi ton cœur (mon âme)
Ouvre-moi ton cœur (mon âme)
Oublie d'où venait la peine
Oublie d'où venait la peine (venait la peine)
Ouvre-moi ton cœur (mon âme)
Ouvre-moi le cœur
Oblige mon âme ancienne
Oblige mon âme même
Que je parvienne à toi
Que je parvienne à toi
Et la bannière qu'on a étendue sur moi
C'est l'amour
Et la bannière qu'on a étendue sur moi
C'est l'amour
Et la bannière qu'on a étendue sur moi
C'est l'amour
Et la bannière qu'on a étendue sur moi
C'est l'amour