Cache, cache, cache
Il était un petit navire,
Il était temps que tu arrives,
Sur mon océan, sur mon océan
Chaque fois que tu y navigues,
Chaque fois l'air devient plus libre,
De voler au vent, de voler au vent
Cache-cache, cache à l'homme
Qu'ai-je à me tordre?
Je vais, je viens, je repars
C'est la vague à l'homme en retard
Cache-cache, cache à l'homme
Qu'ai-je à me tordre?
Il va, il vient, il repart
C'est le vogue à l'âme d'un soir
On dit que les femmes s'enivrent
Qu'elles soutiennent ton regard fuyant
De marin s'en allant, marin s'en allant
Moi je préfère les hommes sensibles
Lorsqu'ils se cachent dans l'amour naissant
C'est tous nus dedans, tous nus dedans
Cache-cache, cache à l'homme
Qu'ai-je à me tordre?
Je vais, je viens, je repars
C'est la vague à l'homme en retard
Cache-cache, cache à l'homme
Qu'ai-je à me tordre?
Il va, il vient, il repart
C'est le vogue à l'âme d'un soir
Il était un petit navire
Qui voguait comme l'on respire
Je ne sais comment, je ne sais comment
Chaque fois tout mon corps chavire
Comme un phare il est tant et tant
Mon petit navire, il en est à l'océan
Cache-cache, cache à l'homme
Qu'ai-je à me tordre?
Je vais, je viens, je repars
C'est la vague à l'homme en retard
Cache-cache, cache à l'homme
Qu'ai-je à me tordre?
Il va, il vient, il repart
C'est le vogue à l'âme d'un soir
Cache, cache, cache