En observant les lames de fond, j'ai cru apercevoir, ton reflet
Le pied posé sur le rebord et ton regard sur moi qui me débâtait
Tu semblais avoir oublié le fait que c'est pas moi qui pouvait tomber
A quoi bon passer tes idées dans le noir?
Ta mélancolie a-t-elle besoin d'un faire-valoir?
Met tes yeux dans les nuages et t'auras l'espoir
Et sauve toi, sauve moi
Les oiseaux colorés me crachent leurs existences parfaites, au visage
Secoue mes bras pour le même ciel, mais reste toujours sur le même rivage
Ramasse mes miettes d'orgueil, contemple les satisfactions qui me dévisagent
Est-ce qu'un jour vous comprendrez que ça ne sert à rien?
D'agiter devant moi vos sourires de gens bien?
De feindre l'empathie qui m'éviterait le déclin?
Mais sauvez-vous, sauvez moi
Sauvez-Vous, Sauvez-moi
Sauvez-Vous, Sauvez-moi
Sauvez-Vous, Sauvez-moi
Sauvez-Vous, Sauvez-moi
Sauvez-Vous, Sauvez-moi
Sauvez-Vous, Sauvez-moi
Sauvez-Vous, Sauvez-moi
Sauvez-Vous, Sauvez-moi
Sauvez-Vous, Sauvez-moi
Sauvez-Vous, Sauvez-moi
Sauvez-Vous, Sauvez-moi
Sauvez-Vous, Sauvez-moi
Sauvez-Vous, Sauvez-moi
Sauvez-Vous, Sauvez-moi
Sauvez-Vous, Sauvez-moi
Sauvez-Vous, Sauvez-moi
Sauvez-Vous, Sauvez-moi
Sauvez-Vous, Sauvez-moi
Sauvez-Vous, Sauvez-moi
Sauvez-Vous, Sauvez-moi
Sauvez-Vous, Sauvez-moi
Sauvez-Vous, Sauvez-moi
En observant les lames de fond, j'ai cru apercevoir, ton reflet
Le pied posé sur le rebord et ton regard sur moi qui me débâtait
Tu semblais avoir oublié le fait que c'est pas moi qui pouvait tomber