Le passé comme un puzzle et l'esprit vierge sert de recueil
Les rêves ne sont que des trompe-l'œil et nos secrets manifeste de l'orgueil de l'homme
Il se lamente du vide et implore le temps
Pour que de nouveau réside la sensation
De vivre à l'égard de sa vie passée dans la pénitence
Son visage livide face aux altérations du givre
Il les entends crier, gémir, brûler
Pour ainsi se confondre, se fondre, s'évaporer, pour enfin disparaître à travers le néant
Nos murmures comme l'existence
Une balance qui s'élance de gauche à droite entre la raison et l'ennui