Il paraît, qu'il faut pas trop rêver
Quand c'est trop beau
Bah c'est pas vrai
Mais quand c'est trop beau
C'est jamais assez
Pour l'irrésolus, que rien n'effraie
Quitte à s'y casser les dents
Ou à en perdre la tête
Conte des moulins à vent
Une défaite n'est jamais une défaite
Puisque la fortune sourit aux audacieux
Soyons réalistes, exigeons l'impossible
Même si l'ont obtient pas toujours c'que l'ont veut
Admirons l'idéaliste incorrigible
On admet bien l'inadmissible
Je n'ai rien, que ce général vaincu
Qui signe l'armistice dans l'honneur
Je suis le mauvais perdant, perdu
Qui discute tous les points, et qui pleure
Ce soir je veux croire
Aux lendemains qui chantent
Tambours et fanfare
Essayons pour voir, ça se tente
Puisque la fortune sourit aux audacieux
Soyons réalistes, exigeons l'impossible
Même si l'ont obtient pas toujours c'que l'ont veut
Admirons l'idéaliste incorrigible
On admet bien l'inadmissible
Moi aussi, j'veux croire au paradis
Pas forcément perdu, pas forcément fiscal
Et puis j'me dis
Peut-être que les choses s'arrangent au final
Même si c'est la semaine des quatre jeudis
Quand les pôles auront des caries
Que nos grands hommes disparus s'poseront
Sur des statues de pigeons
Puisque la fortune sourit aux audacieux
Soyons réalistes, exigeons l'impossible
Même si l'ont obtient pas toujours c'que l'ont veut
Admirons l'idéaliste incorrigible
Puisque la fortune souri aux audacieux
Soyons réalistes, exigeons l'impossible
Même si l'ont obtient pas toujours c'que l'ont veut
Admirons l'idéaliste incorrigible
On admet bien l'inadmissible
Admirons l'idéaliste incorrigible
Même si l'ont obtient pas toujours c'que l'ont veut