La nuit quand je t'appelle
C'est ton âme qui me berce
Et puis qui me ramène
Sans bruit et qui me laisse
Tout doucement, tout doucement
Envouté par l'ivresse
Du son de ta voix
Qui me caresse tout doucement
Vouloir que rien ne cesse
Que nos être s'apaisent
Tout doucement, tout doucement
Quand le matin reviens
Je redeviens en vains
Tout ce qui me retiens
Inévitablement je te tends la main
Tout doucement, tout doucement
Tout doucement, doucement
Doucement, tout doucement
Doucement, doucement
Doucement, tout doucement
La nuit je dors éveillé
Ne cherchant qu'à apercevoir
L'éclat de mes journées
Se fondre dans ton regards
Le soleil voudrait me consoler
Disperser l'orage
Pouvoir enfin percer mes nuages
Tout doucement, doucement
Doucement, tout doucement
Doucement, doucement
Doucement, tout doucement
Doucement, doucement
Doucement, tout doucement