Avant qu'le shit s'effrite, j'écoutais Gims et Shin Sekaï
La suites j'imagine, ma mauvaise mine de djinn s'écaille
Mes lézard me traîne dehors j'allume un spliff ça caille
Doucement sur les compliments j'arrive après qu'les pipes soit taillées
Si j'ramène ma beuh c'est toute l'équipe qu'est die
Les gens s'prostitue ils ouvrent leurs jambes leurs cuisse s'écarte
Quelques démon sous mon coude me glisse les cartes
Donc j'aiguise les lames, jamais j'déguise le mal
Toujours pas d'remède
Quelques pirate pourrait m'dire que l'rhum aide
Je partirais tout près des lumières d'Andromède
J'allais mieux avant d'bedave
Maintenant j'suis dépendant,
Le vase est débordant
J'aimerais leurs briser les jambes en prétendent m'défendre
(J'demande rien au ciel)
J'demande rien au ciel
Je m'en roule plus gros que celui d'la veille
Crois tu vraiment que les étoiles tiennent compagnie au soleil ?
Comme l'usine j'recrache des nuages
J'ai pas mal de beuh mais pas assez pour en faire du hash
Je m'en vais dans la matrice pour déceler les trucages
(run, run)
Et tous c'est truc gâchent, comme Lakitu
J'prends de l'altitude
J'me cache, de tous c'qui mène la vie dure
J'me crash
Mon attitude te fâche
Mais à qui tu parles ?
Ma lassitude dégage
Grave assidue dans ma démarche
Décharger l'arme
Le réticule sur la bête assise sur les marche, de ma situation
J'reste dans ma simulation pour assassiner l'ennui
Viens on en calcine ensemble
Joue pas dans mon film, si c'est pour laisser l'ciné en sang
(Laisse passer les innocents...)