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Berzer - La Morsure du Froid (feat. Fiona Angilotti) Lyrics



Berzer - La Morsure du Froid (feat. Fiona Angilotti) Lyrics




Prendre son élan c'est: courir sans regarder derrière
Tes pensées étaient lancées et partent à la guerre
Le soleil sur son corps élancé, chevauches les rivières
Mais tu te fais devancer, décevant père et mère

Je décris ta démesure
Je n'écris que des mesures
Je marche seul avec ma solitude
J'ai laissé sur le bord de la route la société, les études
Pas d'interlude, les temps sont rudes

La perfection incarnée dans un carnet
La beauté désincarnée mais as-tu déjà regardé
Un couché de soleil sur une étendue bleue
Plus rien n'a d'importance sauf ce qui vient du cœur

Je reste toute la journée assis en tailleur
Je rêve d'un autre monde, je rêve d'un ailleurs
Si je te retrouve seule, laisse moi me joindre à toi
J'ai besoin de noyer mon amour dans une mer d'étoiles

Depuis l'époque de la marelle, on ne veut qu'atteindre le sommet
Assommé par notre vie assiégée
Avec une place assignée, asymétrique
Mais saigner c'est facile lorsque l'on est si fragile

Parcourant les étendues
Sans pouvoir être entendu
C'est apaisant, mais j'ai toujours l'impression d'un manque
À présent, lésé par un cadre lassant

Morsure du froid, me rappelle
À quel point la vie est une étincelle
Morsure du froid, me rappelle
À quel point la vie est une étincelle

La morsure du froid
Le vent qui souffle
Ton cœur qui souffre
Il était une fois
Sous la morsure, ton cœur qui souffre
Qui s'ouvre, tu te confies à moi

Mon esprit dépérit
Sur des vertes prairies
Même dans le fourreau l'épée brille
Instinct de survie

On parle jamais assez des massacres
Des meurtres en série
Je garderais dans mon sac
Ses pleurs et ses rires

Je vois bien dans tes yeux que je te fais de la peine
Merde, ton cœur est un château dont la haine est la reine
La vie semble plus faste au fond d'une McLaren
Sur un matelas, elle a bouffé mon cœur comme une madeleine

Si tu veux que cela cesse, bats toi c'est ça l'astuce
Sur l'ardoise les larmes restent, complexe comme Colossus
Hein? Tu penses que mes paroles parviennent de nulle part?
Je pars loin parfois pour parfaire le miroir

Je fais ça petit à petit, pas besoin de m'inventer une i-ve
Des paroles épileptiques donc pas besoin d'être agressives
Ils supplantent notre capacité de juger
Ils veulent te convaincre, des paroles douces à ton oreille, ils vont susurrer

Si la beauté est un mirage, ton visage est un désert
Écris en deux secondes chrono parfois je manque d'air
Mais parfois aussi je manque d'heures
Je reste songeur avec la voix dans le vocodeur

La morsure du froid
Le vent qui souffle
Ton cœur qui souffre
Il était une fois
Sous la morsure, ton cœur qui souffre
Qui s'ouvre, tu te confies à moi

Mes histoires sont noires parfois
Et le passé ne peut plus changer
J'aurais beau le répéter mille fois
Je veux pas d'une vie rangée

Je contemple ces vérités entrelacées
En te regardant, je n'aurais jamais pu être lassé
Observateur avisé me permet de réviser
Une réalité privée de ce qui peut être concrétisé

Je revois des concepts auxquels j'ai été initié
Le savoir ne peut être ancré dans l'éternité
Une seule chose est sûre, c'est que je crois en mes amitiés
Et dans mon intimité je ne pouvais qu'être intimidé

Par ton charme inquisiteur
Je suis pas celui qui l'oublie, je suis celui qui visite l'heure
Tel le docteur, je voyage à travers le temps
Mais il est si grand, chaque seconde, il s'étend

J'essaye de donner un sens à ces métaphores
C'est toujours te remettre en question qui fera ta force
Tu pourras ainsi détruire ce que tu as toujours été
Profiter de ta liberté sous la chaleur d'un soleil d'été

La morsure du froid
Le vent qui souffle
Ton cœur qui souffre
Il était une fois
Sous la morsure, ton cœur qui souffre
Qui s'ouvre, tu te confies à moi
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Prendre son élan c'est: courir sans regarder derrière
Tes pensées étaient lancées et partent à la guerre
Le soleil sur son corps élancé, chevauches les rivières
Mais tu te fais devancer, décevant père et mère

Je décris ta démesure
Je n'écris que des mesures
Je marche seul avec ma solitude
J'ai laissé sur le bord de la route la société, les études
Pas d'interlude, les temps sont rudes

La perfection incarnée dans un carnet
La beauté désincarnée mais as-tu déjà regardé
Un couché de soleil sur une étendue bleue
Plus rien n'a d'importance sauf ce qui vient du cœur

Je reste toute la journée assis en tailleur
Je rêve d'un autre monde, je rêve d'un ailleurs
Si je te retrouve seule, laisse moi me joindre à toi
J'ai besoin de noyer mon amour dans une mer d'étoiles

Depuis l'époque de la marelle, on ne veut qu'atteindre le sommet
Assommé par notre vie assiégée
Avec une place assignée, asymétrique
Mais saigner c'est facile lorsque l'on est si fragile

Parcourant les étendues
Sans pouvoir être entendu
C'est apaisant, mais j'ai toujours l'impression d'un manque
À présent, lésé par un cadre lassant

Morsure du froid, me rappelle
À quel point la vie est une étincelle
Morsure du froid, me rappelle
À quel point la vie est une étincelle

La morsure du froid
Le vent qui souffle
Ton cœur qui souffre
Il était une fois
Sous la morsure, ton cœur qui souffre
Qui s'ouvre, tu te confies à moi

Mon esprit dépérit
Sur des vertes prairies
Même dans le fourreau l'épée brille
Instinct de survie

On parle jamais assez des massacres
Des meurtres en série
Je garderais dans mon sac
Ses pleurs et ses rires

Je vois bien dans tes yeux que je te fais de la peine
Merde, ton cœur est un château dont la haine est la reine
La vie semble plus faste au fond d'une McLaren
Sur un matelas, elle a bouffé mon cœur comme une madeleine

Si tu veux que cela cesse, bats toi c'est ça l'astuce
Sur l'ardoise les larmes restent, complexe comme Colossus
Hein? Tu penses que mes paroles parviennent de nulle part?
Je pars loin parfois pour parfaire le miroir

Je fais ça petit à petit, pas besoin de m'inventer une i-ve
Des paroles épileptiques donc pas besoin d'être agressives
Ils supplantent notre capacité de juger
Ils veulent te convaincre, des paroles douces à ton oreille, ils vont susurrer

Si la beauté est un mirage, ton visage est un désert
Écris en deux secondes chrono parfois je manque d'air
Mais parfois aussi je manque d'heures
Je reste songeur avec la voix dans le vocodeur

La morsure du froid
Le vent qui souffle
Ton cœur qui souffre
Il était une fois
Sous la morsure, ton cœur qui souffre
Qui s'ouvre, tu te confies à moi

Mes histoires sont noires parfois
Et le passé ne peut plus changer
J'aurais beau le répéter mille fois
Je veux pas d'une vie rangée

Je contemple ces vérités entrelacées
En te regardant, je n'aurais jamais pu être lassé
Observateur avisé me permet de réviser
Une réalité privée de ce qui peut être concrétisé

Je revois des concepts auxquels j'ai été initié
Le savoir ne peut être ancré dans l'éternité
Une seule chose est sûre, c'est que je crois en mes amitiés
Et dans mon intimité je ne pouvais qu'être intimidé

Par ton charme inquisiteur
Je suis pas celui qui l'oublie, je suis celui qui visite l'heure
Tel le docteur, je voyage à travers le temps
Mais il est si grand, chaque seconde, il s'étend

J'essaye de donner un sens à ces métaphores
C'est toujours te remettre en question qui fera ta force
Tu pourras ainsi détruire ce que tu as toujours été
Profiter de ta liberté sous la chaleur d'un soleil d'été

La morsure du froid
Le vent qui souffle
Ton cœur qui souffre
Il était une fois
Sous la morsure, ton cœur qui souffre
Qui s'ouvre, tu te confies à moi
[ Correct these Lyrics ]
Writer: Charlie Bernier
Copyright: Lyrics © O/B/O DistroKid

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