La mort dans l'âme
Des visages obscurcissant le noir
La lumière s'estompant
Sous les branches du passé
A jamais condamné
Rampant comme dans une tranchée
Esquivant le joug d'une pseudo liberté
Figé, pétrifié dans les méandres et le feu
Le règne des damnés
Dans le jour ils pleurent
Dans la nuit ils meurent
Et ce toujours dans la douleur
Asservis dans la peur
Meurtrissant leur cœur
Ils vivent sur les Terres de la Terreur
Dans les méandres des ténèbres
Toujours livré à soi-même
Le printemps des dilemmes
Fait éclore les blasphèmes
Cruelles et destructrices sont les flammes de l'Infâme
La lumière des ténèbres te rongeant jusqu'à l'âme
Ainsi surgissent des abîmes
Les démons nés des pensées
Asservissant une Humanité moribonde
Dans le péché
Et résonneront les grincements de dents
Des gens dans le brasier
Tout sera accompli dans le déni
Cruel et destructeur sont les flammes de l'Infâme
La lumière des ténèbres te rongeant jusqu'à l'âme