Quand je m'énervais, toi, tu te fanais.
À petit feu, c'était silencieux.
Puis, on repartait. Puis, on souriait.
Jusqu'à la prochaine fois, celle que tu n'attendais pas.
Puis, le mot de trop, comme on dit, la goutte d'eau.
De moins en moins, on s'enlace, de moins en moins, on s'embrasse.
Puis, le mot de trop, comme on dit, la goutte d'eau.
Peu à peu refoulée, comme deux gamins devant une soirée.
Mais moi, j'y croyais, à tes yeux clairs
Mais toi, tu te fanais, comme une fleur en hiver.
Mais moi, j'y croyais, à tes yeux clairs
Mais toi, tu te fanais, comme une fleur en hiver.
Quand tu m'oublieras, qu'un autre, tu aimeras.
Moi, je serai le silence, de nos années de romance.
Quant à ce petit ange, tu lui couperas la frange.
Moi, j'aurais le goût amer, de ne pas être son père.
Mais moi, j'y croyais, à tes yeux clairs
Mais toi, tu te fanais, comme une fleur en hiver.
Mais moi, j'y croyais, à tes yeux clairs.
Mais toi, tu te fanais, comme une fleur en hiver.
(solo)
Tu dis que j'ai le << Sheitan >>, je sais bien quand il ricane.
Quand il tient les ficelles, je ne suis rien d'autre que son Polichinelle.
Mais je sais les couper, c'est toi qui m'as montré.
Je l'ai appris par cœur, je l'ai appris de ton cœur.
Mais moi, j'y croyais, à tes yeux clairs
Mais toi, tu te fanais, comme une fleur en hiver.
Mais moi, j'y croyais, à tes yeux clairs.
Mais toi, tu te fanais, comme une fleur en hiver...
Comme une fleur en hiver...
Comme une fleur en hiver...
(Mais j'y croyais, j'y croyais, mais toi, tu te fanais.)
(Tu te fanais comme une fleur, comme une fleur en hiver)
Comme une fleur en hiver
Comme une fleur en hiver
Comme une fleur en hiver
Comme une fleur en hiver
Comme une fleur en hiver.
Comme une fleur en hiver.
Comme une fleur en hiver.