Tourmentée, mon âme dans la brume soupirait doucement
J'accepterais en un battement d'ouvrir l'œil et d'assister à la vie
D'être consciente des pires horreurs
Pour sentir que ton cœur ne pense qu'au mien
Ah, si seulement ton cœur ne pensait qu'au mien
Les travers de la vie, je les chasserais en secret
D'un souffle puissant, et ils disparaîtraient
Et peut-être enfin tu serais mien
J'ai le cœur qui se débat au creux de ta main
Et le timbre suave de ta voix enflamme mon âme éteinte
Tu envahis mes songes et paralyses mes pensées
Y'a l'amour qui me ronge et que toi pour me sauver
Tourmenté, mon cœur fiévreux murmurait faiblement
J'accepterais d'admettre que la vie est cruelle, que l'être humain est pire encore
Et que l'espoir se fait de plus en plus absent
Pour sentir que ton âme ne désire que la mienne
Ah, si seulement ton âme désirait la mienne
Les pires atrocités, elles se consumeraient d'elles-mêmes
Périssant dans un coin de nos vagues souvenirs
Ah, si seulement ton âme désirait la mienne
J'ai le cœur qui se débat au creux de ta main
Et le timbre suave de ta voix enflamme mon âme éteinte
Tu envahis mes songes et paralyses mes pensées
Y'a l'amour qui me ronge et que toi pour m'assouvir
J'ai le cœur qui se débat au creux de ta main
Et le timbre suave de ta voix enflamme mon âme éteinte
Tu envahis mes songes et paralyses mes pensées
Y'a l'amour qui me ronge et que toi pour me sauver