Celle que l'on crible de caresses délicates
Celle qu'on néglige et qui s'affaisse, qui éclate
Celle qu'on agrafe ou qu'on lacère, les stigmates
Qui grouille de veines comme de vers la chair
Celle qui m'est si chère, qui m'obsède
Que secrètement, je vénère
Qui dit combien la mienne est faible
Celle qu'on dit de ma chair, ma lumière
Et que tendrement, je serre
Phénix renaissant de ses chairs
Celle à travers un tissu ouvert à la hâte
Celle qu'on éparpille en temps de guerre écarlate
Celle qui m'est si chère, qui m'obsède
Que secrètement, je vénère
Qui dit combien la mienne est faible
Celle qu'on dit de ma chair, ma lumière
Et que tendrement, je serre
Phénix renaissant de ses chairs
Celle qui m'est si chère, qui m'obsède
Que secrètement, je vénère
Qui dit combien la mienne est faible
Celle qu'on dit de ma chair, ma lumière
Et que tendrement, je serre
Phénix renaissant de ses chairs
Phénix renaissant de ses chairs
Dou-dou-dou-dou-dou-dou-dou-dou-dou dou-dou-dou
Dou-dou-dou-dou-dou-dou-dou-dou-dou dou-dou-dou
Dou-dou-dou-dou-dou-dou-dou-dou-dou dou-dou-dou