Côté Double R Qui Pars
J'ai essayé de faire de ton cœur ma maison
J'ai laissé balayé le temps, le temps d'une saison
Au cœur une lésion, tout est une question de liaison
J'ai même appris à te pardonner et en perdre la raison
J'aimerais que tu maternes celle à qui on donnera la vie
L'emmener à la maternelle et l'emmener au paradis
On fera naître une nouvelle famille et ceux jusqu'à l'infini
Et peut-être qu'on sera plus qu'on ne le dit, si ma maladie le dit
Mais avec toutes ses redevances, je n'en veux plus à la vie
Car je sais que quand j'avance, je m'éloigne de plus en plus de mes soucis
Pas une seconde sans se remplir la pense de peur d'être triste
En attendant un appartement loin de ma ville
Un café pour le matin, un cocktail aux trois couleurs pour midi
Petite robe satin, en été pour elle, d'un bonheur où l'air a refroidi
Agréable parfum, un peu de Chanel aux iris harmonique de Givenchy
Si ce n'était qu'un putain de jeu qu'on m'enferme à jamais dans ce Jumanji
Les regrets d'hier font les méfiances de demain
Les méfiances d'hier font les regrets de demain
Cercle vicieux, circuit infini, le monde ne tourne plus rond
Plisser les yeux, rêver d'en finir et de quitter ce monde
Côté Double R Qui Pars, Côté Double R Qui Pars
Côté Double R Qui Pars, Côté Double R Qui Pars